Le prix Nobel de la Paix est donc revenu à Barack Obama. On peut s'étonner d'un tel choix... d'ailleurs les détracteurs du Président des Etats-Unis qui ne manquent
pas ne s'en privent pas. Hors la polémique "poléticienne", on peut s'interroger sereinement sur ses actions pour la paix pour le moment très limitées et difficiles à jauger dans un environnement
politique belliqueux à différents points de la planète et où les USA sont engagés. Selon, le vieil adage "pour avoir la paix, prépare la guerre", jusqu'ici c'est plutôt l'inverse : "pour préparer
la paix, fait la guerre"...
Un engagement qui n'est pas du fait de B.O. héritier d'une politique unilatérale et agressive. Lui est à l'inverse de cela, il a conscience que son pays n'est pas seul sur terre et il est un promoteur actif du multilatéralisme, d'une Amérique plus modeste, d'une Amérique qui marche de concert avec les autres peuples. Ce n'est pas gagné, c'est pour cela qu'il faut l'encourager.
Pacifier le monde ? Il en rêve et nous avec lui.
Un engagement qui n'est pas du fait de B.O. héritier d'une politique unilatérale et agressive. Lui est à l'inverse de cela, il a conscience que son pays n'est pas seul sur terre et il est un promoteur actif du multilatéralisme, d'une Amérique plus modeste, d'une Amérique qui marche de concert avec les autres peuples. Ce n'est pas gagné, c'est pour cela qu'il faut l'encourager.
Pacifier le monde ? Il en rêve et nous avec lui.