Pour démarrer une nouvelle année, notre humanité conviviale s'adresse des souhaits, un rituel toujours agréable qui permet de faire le compte de ses amis, des membres
de sa famille, de ses relations et parfois de ses "ennemis" à qui finalement ont acceptent de tendre la main pour effacer les brouilles... Les voeux sont une politesse fédératrice.
Aujourd'hui, avec la dématérialisation des supports et la puissance des réseaux, les voeux adoptent des formes numérisées souvent très rigolotes, ou des formes télégraphiques avec des SMS adressés à pleines brassées le 31 décembre à minuit jusqu'à encombrer les tuyaux.
Mais le bon "vieux" support papier garde encore sa place privilégiée, une tradition qui a été popularisée par nos voisins britanniques au milieu du XIXe siècle et qui demeure encore le moyen familier pour soumettre des voeux de bonheur futur à son entourage.
Avec 2010, nous abordons une nouvelle décennie, le seconde du premier millénaire : avec un tel nombre pair, un tel chiffre rond, nous devrions retrouver l'énergie de regarder l'avenir avec envie et peut-être espérer un nouvel âge d'or. Bonne année...
Aujourd'hui, avec la dématérialisation des supports et la puissance des réseaux, les voeux adoptent des formes numérisées souvent très rigolotes, ou des formes télégraphiques avec des SMS adressés à pleines brassées le 31 décembre à minuit jusqu'à encombrer les tuyaux.
Mais le bon "vieux" support papier garde encore sa place privilégiée, une tradition qui a été popularisée par nos voisins britanniques au milieu du XIXe siècle et qui demeure encore le moyen familier pour soumettre des voeux de bonheur futur à son entourage.
Avec 2010, nous abordons une nouvelle décennie, le seconde du premier millénaire : avec un tel nombre pair, un tel chiffre rond, nous devrions retrouver l'énergie de regarder l'avenir avec envie et peut-être espérer un nouvel âge d'or. Bonne année...