Hier, la capitalisation boursière d'Apple a dépassé celle de Google. Parmi les principales entreprises high-tech, la firme à la pomme pèse $ 178 milliards, devant
Microsoft $ 234 milliards, derrière Google $ 174 milliards.
Les marchés boursiers saluent les performances d'Apple dont le chiffre d'affaires progresse sans discontinuer depuis 2003 et les bénéfices aussi. Pourtant, cette bonne santé insolente dans un marché mollasson ne rassure pas les financiers qui prédisent une année 2010 difficile pour la firme de Cupertino en Californie du fait du réveil de ses principaux rivaux qui aiguisent leurs armes pour contrer notamment le succès de l'iPhone.
Comme d'habitude, on voit ici la vision "court-termiste" des marchés boursiers qui ne sont pas prêts à renouveler leur confiance dans une entreprise qui a pourtant démontré sa capacité à innover, à bousculer le secteur des high-tech, à créer des produits au design attachant, à produire de la passion autour de ses produits.
Comme d'habitude, les boursicoteurs se contentent de regarder des bas de bilans, de dresser des tableaux Exel, de créer des montages capitalistiques débilitants pour l'économie et de négliger le facteur humain. Ce ne sont pas les financiers qui font tourner les entreprises, ce sont des hommes et des femmes qui chaque jour investissent leur talent et qui chaque jour veulent croire en l'avenir grâce au travail qu'ils fournissent.
Les marchés boursiers saluent les performances d'Apple dont le chiffre d'affaires progresse sans discontinuer depuis 2003 et les bénéfices aussi. Pourtant, cette bonne santé insolente dans un marché mollasson ne rassure pas les financiers qui prédisent une année 2010 difficile pour la firme de Cupertino en Californie du fait du réveil de ses principaux rivaux qui aiguisent leurs armes pour contrer notamment le succès de l'iPhone.
Comme d'habitude, on voit ici la vision "court-termiste" des marchés boursiers qui ne sont pas prêts à renouveler leur confiance dans une entreprise qui a pourtant démontré sa capacité à innover, à bousculer le secteur des high-tech, à créer des produits au design attachant, à produire de la passion autour de ses produits.
Comme d'habitude, les boursicoteurs se contentent de regarder des bas de bilans, de dresser des tableaux Exel, de créer des montages capitalistiques débilitants pour l'économie et de négliger le facteur humain. Ce ne sont pas les financiers qui font tourner les entreprises, ce sont des hommes et des femmes qui chaque jour investissent leur talent et qui chaque jour veulent croire en l'avenir grâce au travail qu'ils fournissent.