Paris perd ses étoiles qui brillaient dans les yeux des amoureux de son charme. Ville martyre, la capitale française subit l’enlaidissement orchestré par Anne Hidalgo dans le déni. #saccageparis concentre les hontes des Parisiens et des Parisiennes accablés par l’état d’une ville meurtrie au plus profond de ses pierres par la Terreur municipale. Qu’Anne Hidalgo n’ait pas l’œil et le goût pour le beau, soit, qu’elle délègue cette incompétence à des personnes de qualité qui ne soient pas dogmatisées par une écologie radicale. Pour citer Alain Finkielkraut, « les écologistes sont la plus grande catastrophe qui soit arrivée à l’écologie ». Le Paris de la déambulation, de la culture, du luxe, de la mode et d’un je-ne-sais-quoi qui la rend si attractive, mérite mieux que l’offense blessante des « chantres de la laideur écoresponsable » (Alain Finkielkraut).
Les touristes ne vont pas revenir avant 2022, s’ils reviennent, les Parisiens qui ont fui, eux ne reviendront pas. Paris est mutilée, son image de marque est dégradée par la souillure écologiste, ses habitants ( qui ne sont malheureusement pas toujours des citoyens respectueux du bien collectif, ceci dit !) ont un devoir d’actions pour redorer son blason terni. L’Etat doit mettre la municipalité sous tutelle pour stopper le saccage et rendre à la capitale son statut d’ambassadrice d’un art de vivre nec pluribus impar (« à nul autre pareil », devise de Louis XIV investi du rayonnement de la France, un engagement qui manque singulièrement à Anne Hidalgo).
Photo: D.R.